Pourquoi avez-vous choisi le Master 2 ACAC ?
J’ai souhaité compléter ma formation en communication par ce Master pour deux raisons : d’une part, j’ai toujours été attirée par les domaines de la culture et du service public ; d’autre part, ce Master est proposé en alternance. Je suis donc venue à Toulouse pour ce Master 2 en particulier et j’ai eu la grande chance de pouvoir le réaliser en travaillant en alternance à l’
Opéra et à l’
Orchestre national du Capitole. Le rythme était de 2 jours en cours et 3 jours en entreprise. La quantité de travail était très adaptée. Et pour ceux qui ne font pas d’alternance, il est possible de mener des projets tutorés. Ce sont de beaux partenariats, par exemple avec le festival
Nouveau Printemps.
Qu’avez-vous apprécié pendant cette année ?
Ce Master 2 a été l’une de mes meilleures années d’études ! C’est une très bonne formation aux métiers de la Culture. Ce qui est très appréciable en ACAC, c’est la diversité des partenariats dont les étudiants peuvent bénéficier. Des projets sont mis en place avec des établissements culturels, comme le
ThéâtredelaCité ou le
Théâtre Garonne, ce qui permet de voir de nombreux spectacles. Et puis les enseignants, qui ont de très bons contacts, proposent régulièrement des cours hors les murs, dans des lieux culturels (musée des Abattoirs, Chapelle de la Grave, musée de la Résistance et de la Déportation…). Nous avons également eu la chance d’accueillir la chargée de mécénats du Louvre lors d’une journée très riche en enseignements !
Autre avantage : nous étions 20 seulement dans notre promotion ! L’ambiance était très bonne et nous avions des travaux à réaliser en groupe. Le campus en centre-ville de Toulouse est également un énorme atout : tous les transports en commun sont à proximité et le cadre est très agréable.
« Ce qui est très appréciable en ACAC, c’est la diversité des partenariats dont les étudiants peuvent bénéficier »
Pouvez-vous nous dire quelques mots sur le Master 1 Communication ?
La première année de Master est plus généraliste : elle permet de revoir les bases si on a déjà fait une Licence ou un DUT en communication. La théorie se mêle à la pratique. Il y a par exemple des cours d’épistémologie, mais aussi des analyses de cas, en communication publique ou politique, avec de vrais exemples. Le Master 1 se termine assez tôt, ce qui laisse le temps de faire un stage avant l’été.
Pouvez-vous nous décrire votre poste actuel ?
J’ai été recrutée au service Communication de
Toulouse School of Management (TSM) en octobre 2024, quelques jours seulement après la fin de mon Master 2. Je suis chargée de communication interne et d’animation d’associations étudiantes. Ce que me plaît dans ce poste, c’est d’avoir 2 casquettes : je fais de la communication, tout en accompagnant les associations étudiantes. La communication interne est essentielle pour tout établissement, toute entreprise.
Pourquoi, selon vous, votre profil a plu par rapport aux autres ?
Je crois que mon CV correspondait bien aux attentes de TSM : j’ai suivi une formation en communication, je connais les lieux et j’ai moi-même adhéré à des associations étudiantes. J’étais en effet chargée de communication pour le journal Tintamarre, à Bordeaux Montaigne, et j'ai participé aussi à l’association du Master ACAC. J’avais donc déjà une expérience dans ce domaine.
Quelles sont vos perspectives professionnelles ?
Pour l’instant, j’envisage de rester dans la fonction publique et de passer les concours, de la territoriale et de l’État. Ce sont les valeurs du service public qui m’attirent. Et si cela est possible, j’aimerais plus tard trouver un poste dans le milieu culturel puisque j’ai orienté tout mon parcours vers ce domaine.
Quels conseils souhaiteriez-vous donner aux étudiants actuellement en Master Communication ?
Mon conseil serait de ne pas hésiter à faire beaucoup de stages, même s’ils ne sont pas obligatoires, ou à tenter l’alternance, pour engranger un maximum d’expérience. Pensez également à adhérer à une association, cela peut être un bon moyen de pratiquer. Et puis, bien sûr, soyez assidu : si on va en cours, on a fait plus de la moitié du travail ! Et quand la fin de votre Master 2 approche, postulez bien à l’avance aux offres d’emploi !